• Nom : Vous pouvez m'appeler Rexia ^^
• Race : Renarde rousse.
• Rang/Faction : Unique membre de mon espèce vivant à l'arbre de Ga'Hoole, le fait que je ne sois pas une "emplumée", comme j'appelle généralement les oiseaux, m'a empêchée d'entrer dans un Squad et je ne serais donc jamais gardienne, mais j'ai appris quand-même certaines choses auprès des oiseaux et je suis devenue une guérisseuse assez douée. On compte aussi sur ma chaleur corporelle pour "couver" les oeufs orphelins que les sauveteurs nous ramènent. Et sachez une chose : il n'y a rien de meilleur qu'une fourrure de renard pour détendre un malade ou rassurer un déprimé, ou pour réchauffer les coquilles !
• Âge : Jeune adulte, à peine sortie de l'adolescence.
• Famille : Mes parents génétiques sont morts tous les deux, alors qu'ils essayaient de chasser une chouette de l'Arbre de Ga'Hoole, égorgés par une patrouille qui vint à son secours... l'ennuis, c'est que j'ignore encore cette partie de l'histoire, je crois aujourd'hui qu'ils m'ont abandonnés, et si un jour j'apprend la vérité... et bien je vous laisserais voir ma réaction à ce moment là x) Mais j'ai été élevée par Kamuniak, une vieille chasseuse qui se sentit coupable en me découvrant, et eut pitié de moi. Même si nous ne faisons pas partie du même règne animal, je la considère comme ma mère.

• Aspect Physique : (3 lignes minimum)

Je suis une magnifique... oui, magnifique, celui qui dira le contraire se prendra un coup de crocs dans le derrière... représentante de mon espèce, une grande... oui, oui, comparé aux chouettes et aux hiboux, je suis quand-même grande... femelle, au long corps fin, musclé et élancé, et avec une épaisse fourrure orange flamboyante sur la plupart de mon corps, mais également noir pour mes pattes et mes oreilles, et avec le ventre, le cou, le bas du museau et le bout de la queue blancs. J'ai un long museau, couronné par deux grands yeux de la couleur de l'ambre, dont le regard peut être doux et amical envers mes amis et sombre et féroce envers mes ennemis. Mes quatre jambes sont légèrement plus longues et fines que la normal des autres membres de ma race et de mon âge. Cela les rend plus fragile et ne me confère pas une très bonne endurance, mais me rand quand même plus rapide et agile.

• Aspect Psychologique : (3 lignes minimum)

Je suis une jeune renarde intelligente, rusée et très débrouillarde. Même si j'aime ma famille adoptive, il peut m'arriver de m'en éloigner pendant plusieurs jours d'affilés... enfin, quand j'en ai la possibilité, car il est vrai que l'on vit sur une île et que je ne sais pas voler. J'adore courir. Pour moi, rien n'est meilleur pour se remettre d'aplomb que de me dégourdir les jambes sur le carré de terre autour du Grand Arbre, de ressentir la caresse du vent sous ma fourrure, de l'entendre claquer à mes oreilles, surtout celui du printemps, lorsqu'il n'est ni trop chaud, ni trop froid, mais juste tiède. Lorsque j'ai la possibilité de pratiquer, je suis une bonne chasseuse et j'apprécie ce sport, cependant je respecte les lois de notre mère-nature que m'ont enseignaient les chouettes, et ce n'est pas pour autant que je chasserais et que je tuerais sans raison, pour le simple plaisir. Je ne tues que pour manger, ou pour me défendre, ou pour défendre ma famille, bien que mon pêché mignon, ce soit la gourmandise. J'aime aussi observer la pleine-lune et les étoiles, ce qui pour moi est le plus beau spectacle au monde. J'ai trop tendance à foncer tête baisser et à aimer le danger. Oui, je suis assez tête de mule. Je suis aussi une grande rêveuse, ainsi qu'une comédienne et une vantarde. J'adore faire ma maligne devant les oiseaux, montrer ma taille et ma force pour les impressionner, ou pousser des grognements pour les effrayer. Dragueuse envers les beaux renards lorsque j'en croise un, j'ai tendance à tomber facilement amoureuse, un défaut qui disparaîtra le jour où je me trouverais véritablement un compagnon, mais cela m'a été profitable et m'a donné une bonne arme envers les mâles, car j'ai apprise à me servir de mon charme féminin envers-eux pour obtenir ce que je veux. Joueuse et blagueuse, j'aime me moquer de mes ennemis, et de temps à autres, de mes amis ^^ J'ai un coté sarcastique et je suis un peu... oh, juste un peu xD... gamine. Je suis cependant très susceptible et rancunière, et je pourrais me mettre facilement en colère si on m'insulte. Je déteste être ignorée. Je possède un caractère rebelle, un peu mâle-manqué. J'ai du répondant et je ne me laisse pas marcher sur les pattes, même si ça doit m'attirer les foudres d'une créature plus forte que moi. J'ai l'habitude, lorsque je m'ennuie et que je n'ai rien d'autre à faire, de me lécher les griffes, ce qui chez-moi est devenu une sorte de tic.

• Histoire : (6 lignes minimum)

J'ai été mise au monde il y a environ deux ans de cela, de l'union d'un grand mâle du nom de Ronno, et d'une féroce femelle nommée Xyria, et ils étaient tous les deux des renards, comme vous devez vous en douter. Je vis le jour dans une petite tanière, creusée au milieu de la Forêt de Tyto. C'était une nuit fraîche d'automne, et mon père était agité, stressé, il faisait les cent pas devant l'entrée du trou dans lequel vivait la renarde de son coeur, qui l'avait elle-même creusée de ses propres pattes. A l'intérieur, on pouvait entendre les cris de douleurs de celle-ci. Le mâle était inquiet. Il aurait tant aimé pouvoir être auprès d'elle, pouvoir l'encourager, pouvoir peut être même trouver un moyen de l'aider. Mais il savait qu'il ne pouvait et ne devait pas entrer : il serait inutile, ne ferait que la stresser davantage, et de toute façon, elle le lui avait formellement interdit. Les cris cessèrent un petit moment, laissant place au bruit de la respiration rapide d'un allaitement. Le renard s'avança lentement, commença à vouloir entrer... sa patte se posa sur le crâne d'une souris qu'il avait réussi à attraper la veille, qui craqua sous son poids, et à l'intérieur, la femelle poussa un grognement pour lui ordonner de reculer. Le travail n'était pas terminé ! Les cris reprirent de plus belle. Il passa à nouveau quelques minutes, puis il y eut à nouveau une accalmie, puis ils recommencèrent, et se calmèrent pour la troisième fois, puis reprirent, puis se recalmèrent... et là, ils ne reprirent pas. A l'intérieur de la grotte, le silence n'était plus rompu que par le faible bruit du vent qui se faufilait à travers les nombreuses galeries... le mâle se risqua alors à pénétrer dans la tanière : il se faufila par le grand trou qui marquait l'entrée, et s'avança vers la fond. Là, il trouva sa compagne, confortablement couché sur le coté et sur la couche faite de feuilles mortes, de boue et de poils qu'elle s'était arrachée de sa propre fourrure, les pattes-avants croisées, installée contre la parois de la caverne, penchée sur quatre toutes petites boules de poils grises, qui se tortillaient contre le rond et confortable ventre de leur mère, à la recherche des mamelles pleine du bon lait gras et nourrissant. Xyria cessa un moment de lécher ses bébés et leva ses yeux d'ambre vers ceux de son compagnon. Leurs regards se croisèrent, et il s'avança vers son aimée pour lui donner une longue lèche affectueuse sur le museau. Ils venaient d'avoir leur première portée...
Nous étions partis pour être une famille heureuse. Mes parents avaient déjà prévu de se partager les tâches pour notre éducation éducation... notre mère devait restée à la tanière, avec nous, et nous apprendre la vie à travers différentes leçons, développer notre façon de penser, et surtout, nous apprendre ce qu'était notre instinct, l'arme la plus puissante que nous aurait offerte la nature. Elle devait nous apprendre comment le reconnaître, comment le comprendre, et surtout, comment le suivre. Quand à notre père, il devait nous apprendre à nous défendre, à nous servir de nos griffes et de nos crocs, il devait développer notre force. Lorsque nous aurions étaient assez grands, ils voulaient tous les deux nous apprendre à chasser... mais hélas, malgré tous leurs projets, malgré tous leurs efforts pour nous voir grandir, ils ne purent jamais s'occuper de nous ainsi. D'ailleurs, les quatre petits ne survécurent pas, et moi, je devrais grandir loin de mes semblables. Un matin, alors que nous n'avions encore que trois jours, que nous étions à penne capable de ramper, et que nos yeux n'étaient que deux petits fentes humides, nos parents quittèrent la tanière pour aller se chasser une ou deux proies, car maman devait reprendre des forces, après la gestation, et renouveler son lait... ils ne revinrent jamais. Durant toute la journée, mes frères, ma soeurs et moi-même, nous sommes restés dans notre trou, à attendre la tétée, mais notre mère ne vint pas nous la donner. Lorsque la nuit tomba, il se mit à faire si froid... le faible duvet qu'il restait dans notre litière ne fut pas suffisante pour nous réchauffer, et au petit matin, je fus la dernière survivante de la portée. Peut être que j'étais un peu plus forte que les autres... je ne sais pas, mais tous ce que je sais, c'est que même si je respirais encore, je n'en menais pas large. J'étais à moitié gelée, presque morte de faim... je n'aurais pas pue tenir plus d'une heure, si, par chance, elle ne m'avait pas trouvée...
Je réussis à utiliser le peu de forces qui me restaient pour relever la tête, lorsque mon ouïe fine détecta un bruit étrange, à l'entrée de la tanière. A l'époque, j'ignorait encore ce que c'était, mais ce bruis était celui des ailes de Kamuniak, une chouette harfang des neiges, une chasseuse du grand arbre de Ga'Hoole. Sa forme blanche se dessina devant le trou, et elle observa d'un oeil calculateur la portée décimée. Lorsqu'elle s’aperçut que j'étais encore vivante, elle hésita un petit moment, puis finalement me saisit délicatement entre ses serres et m'emporta avec elle. L'instinct maternel, tous semblables les animaux, lui interdisait de m'abandonner, car une semaine plus tôt, à cause d'une malformation génétique héréditaire de sa famille, elle avait perdue sa première couvée, et hélas, elle en était devenue stérile, jamais elle ne pourrait avoir de petit à elle... et puis, il lui semblait qu'elle avait une dette envers moi : c'était elle qui avait tuée mes parents. Alors qu'elle venait d'attraper son dernier mulot de la nuit et qu'elle s'apprêtait à rentrer au Grand Arbre, ils lui étaient tombés dessus, essayant de faire d'elle leur repas... la chouette s'était défendue, et son entraînement de chasseresse lui avait finalement permis de prendre le dessus, suffisamment longtemps pour que, alertés par ses cris, un groupe de sauveteurs viennent à son secours. Mon arrivée à l'Arbre ne se fit pas sans difficulté, et elle passa devant les douze membres du parlements, afin d'essayer d'obtenir quelque-chose qui pouvait sembler contre nature : l'oiseau voulait adopter le renardeau. Après de nombreuse délibération, finalement, le roi et la reine de l'Arbre tranchèrent : ils voulaient bien que Kamuniak me garde, à la condition qu'elle m'élève au pied du Grand Arbre, dans les racines, loin des oisillons, et, si un jour, mes instinct de prédateur reprenaient le dessus et que je m'attaquais à un emplumé, je serais chassée sans pitié. Et, bien sûr, il y avait également une dernière condition : il fallait encore que je survive.
Car en effet, j'étais toujours aussi faible, et il n'était pas sûr que je passerais la prochaine nuit. Kamuniak me confectionna un grand nid chaud, faite d'un peu de mon ancienne litière des poiles de ma vraie mère qu'elle avait récupérée dans la tanière, et d'un peu de son duvet. Mais la chaleur n'était pas tout : j'avais besoin de lait. Aussi partit-elle avec quatre de ses amis, durant la nuit entière. Lorsqu'on lui demanda où elle était allée, elle expliqua qu'elle était retournée sur la terre des cloché, là où les chouettes vivaient, avant. Les cinq oiseaux revinrent au petit matin, portant un lourd et grand seau en métal, remplit du liquide blanc nécessaire à ma survie {Pour la petite info', ils l'ont chapardés à un humain, après que celui-ci ait trait sa vache}. La harfang me donna le biberon à partir de ce moment-là, et le contenu du seau fut suffisant pour mon sevrage. Après avoir plus d'une fois faillie lui claquer dans les pattes, aider par la chaleur de l'amour maternelle qu'elle me portait, même si je n'étais pas sa vraie fille, Kamuniak réussit à me faire aller mieux, et finalement, je survécus, et je grandis au pied du Grand Arbre de Ga'Hoole, élevée par ma nouvelle famille d'oiseaux.
Les années ont passées, j'ai grandie, et je me suis développée. Je suis aujourd'hui une jeune renarde adulte, et je vies toujours avec les emplumés. J'ai appris seule, à l'instinct, à chasser les quelques petites proie que je peux trouver sur l'île de Hoole, et à pêcher... je ne peux pas me permettre de trop piocher dans la réserve des oiseaux, car j'ai besoin de beaucoup plus de nourriture qu'eux. Je n'ai jamais et ne mangerais jamais d'oiseau, ne vous en faite pas... pour moi, ils sont ma famille, et puis, j'ai déjà eue des plumes dans la gueule, dans le nid de ma mère adoptive, et franchement, c'est pas super appétissant. J'habite toujours au pied de l'Arbre où je me suis creusée une tanière, au milieu des racines, mais je monte chaque nuits parmi les chouette... oui, j'ai pris leur mode de vie et je dors le jour pour vivre la nuit... pour rejoindre l'infirmerie. N'étant pas capable de voler, je ne suis pas vraiment utile aux Gardiens pour ce qui est de combattre ou de protéger le monde des chouettes, mais j'ai tout de même trouvée mon utilité : j'assiste les guérisseurs, en réchauffant les malades avec mon épaisse fourrure, et je couve également quelques oeufs orphelins...

Troisième et dernier compte de **Barrane** ^^ D'habitude, je n'en fais pas autant sur un seul forum, mais que voulez-vous, l'histoire m'inspire vraiment beaucoup =D
Je précise que l'histoire est effectivement inspirée de celle d'Arald, et que j'ai reçue son autorisation.

Bon Ok =) Vu que j'taime bien je laisse passer xD
Mais je vais courir marquer dans le réglement que seulement ceux qui est accepter . =)
Tu sera une exception xD

Merci beaucoup de faire une exception, Églantine ! *Gros calin*
Je m'étais doutée un peu que ce personnage aurait peut être du mal à passer, mais comme on dit, qui ne tente rien n'a rien, et moi, j'ai tentée, et j'ai eue ^^

contente de te "rencontrer" Rexia ^^

Moi de même, petite emplumée ^^

Je suis un Moyen Duc je ne suis donc pas petite mais moyenne ^^ boule de poil =)
au fait, tu sais que dans les livres, les Autres (c'est à dire les humains) n'existent plus dans le monde de Ga'Hoole ;) enfin je dis ça je dis rien moi =D

Tu es peut être un hibou, mais tu es encore jeune. Et puis, comparé à moi, tu es petite ^^
Ah zut ! Oui, je le sais, mais j'ai oubliée de préciser que les chouettes qui sont allées me chercher mon lait avaient quittées les terres de Ga'Hoole pour me trouver le sceau. Parce que comme je me souviens que dans un passage d'un des livres {J'en suis au tome 2, pour le moment} ils disent qu'avant d'arriver à Hoole, les chouettes vivaient dans les cloché, donc je suppose que les humains existes sur d'autres terres, non ?

En fait non, les chouettes vivent dans un monde où les humains ont disparus un peu comme actuellement où nous vivons après les dinosaures si tu préfère =)
au fait je suis une ado moi aussi =p

Ah, ok... je vais alors essayer de trouver autre-chose pour ce passage. Merci de m'avoir prévenue.
Bha moi, je suis peut être jeune, mais je ne suis plus vraiment une adolescente ^^

lol j'ai beau être jeune ça n'est pas l'âge qui fait tout ma chère ^^
ce fut un plaisir de te prévenir lol je suis sure que tu va trouver quelque chose =)
au fait quel est ton troisième compte avec celui de Barrane ?

Et bha là, je suis tout à fait d'accord avec toi ^^
Mon troisième compte, c'est celui d'Apsychos.

Bon =) Pas de Flood Inutil xD J'te mets quand même dans le groupe gardien =)

Merci, Eg', et merci, Moonlight ! Je suis contente que ma fiche te plaise ^^ Et j'espère pouvoir un jour croiser ta renarde =)
C'est mon troisième compte, après celui d'Apsychos

Ah bha zut... je ne m'étais même pas aperçu que j'avais répondue avec Apsychos O.O

Tu veux dire les codes du règlement ? Parce que je les avais déjà donnée à ma première présentation, mais si tu veux, je peux recommencer ^^