• Nom : Mononoké
• Race : tyto alba
• Rang/Faction : leader de l'armée des tytos
• Âge : six mois
• Famille : //


• Aspect Physique :

Je suis plutôt petite pour une Tyto Alba, mais cela ne m'empêche pas d'être une grande guerrière. Mes plumes sont assez claires. Sur mon ventre, une cicatrice me rappelle mon passé. Elle s'étends de sous mon visage à ma serre gauche, mais les plumes ont repoussé dessus, si bien qu'on ne la voit pas. Du reste, mes yeux sont loin d'être ceux d'une déboulunés ; ils brillent de malice et d'arrogance. Je suis naturellement belle : après tout, ne suis-je pas une tyto alba, une race supérieur ?

• Aspect Psychologique :

Je suis supérieur ! écrase-toi, incline-toi, que tu sois tyto ou pas. Je suis une princesse, mais pas une de celles qui se lissent les plumes dans leur creux ! J'aime me battre, non pas pour tuer -après tout, je gagne toujours, c'est obligé- mais pour élaborer de nouvelles stratégies. Je peux rester des jours à voler, me fiant seulement à mon gésier. Bon, des jours, j'exagère. Mais longtemps ! Je sui fidèle à mon maître, Bec d'Acier, qui a su voir mon potentiel ; mais je ne crains pas Nyra. Je suis certes plus petite et plus jeune, mais je suis égale. Je ne parle pas beaucoup ; mes plumes ont beau être claires, je suis sombre. Personne ne connaît mon passé ; Bec d'Acier a la délicatesse de s'en fiche le bec, ce qui me vas très bien. Leader de l'armée des tytos, je domine tout ce beau monde avec justice, même si j'avoue un penchant dangereux pour la mise en compétition des soldats, et une certaine cruauté lorsque l'un d'eux me tient tête. Je résume : orgueilleuse, grande guerrière, soumise uniquement à Bec d'Acier, leader juste quoique cruelles, quasi-muette.

• Histoire :

Je volais, tout droit, sans fléchir, sans marque de tristesse sur ma figure en forme de cœur. Si je regrettais mon geste ? Pas le moins du monde. Le plan s’était déroulé sans failles… sauf peut-être ce regard trahit de mon père. Un regard de bête blessée. Mais sa blessure n’avait rien à voir avec le sang coulant sur ses plumes brunes.

Il faudrait tout de même un petit flash-back, non ? Bon, d’accord. Cela m’occupera le temps de mon vol. Tout a commencé le jour de ma naissance. Mes parents étaient des gardiens de ga’hoole, et leur seul souhait pour moi était que j’en devienne une aussi. Ce n’était pas mon choix. Chaque soir, mon père nous lisait des histoires des gardiens. Nous étions deux : ma sœur, une idiote chouette du nom, d’Hortie, et moi, Mononoké. Toutes ces histoires étaient certes belles, mais les gardiens ne se battaient que contre des chouettes dont les idées m’étaient inconnues. Alors, un soir, j’allai dans la bibliothèque…. Et tombait sur un livre noir. Il y était décrit les idéaux des « mauvais ».

J’y réfléchis toute la journée. Je me vis, moi, une princesse à la tête d’une armée de fiers Tytos. Le lendemain, j’essayais de me chasser ces pensées, mais plus j’observais les autres chouettes, plus je trouvais les autres races empotées. Je grandissais, et je me trouvais de plus en plus belle. Ma sœur n’était pas d’accord. Hortie ne répétais rien à mes parents, mais elle en avait assez.

« Tu te crois drôle ? Allez, arrête de me faire marcher !
- Ce n’est pas une blague, je veux aller vers Bec d’Acier !
- Non ! pas toi ! pas ma sœur !
- Mais Hortie, nous sommes supérieurs ! Nous sommes des Tytos !
- NON ! Nous sommes des chouettes, comme Gylfie, comme Perce-Neige, comme
- Bah, tu ne comprends rien. Je serais forte ! Je rejoindrais Bec d’Acier ! »

Depuis, je me suis entraînée sans relâche, peu importe les blessures. Je savais tuer avant de voler. J’aimais fabriquer des figurines de chouettes pour élaborer des stratégies. Je rejouais les grandes batailles… en l’honneur des chouettes de Bec d’Acier.

Puis le grand jour est arrivé. Je suis allée voir Bec d’Acier. Je lui ai prouvé ma valeur ; au bout d’un mois, il m’a trouvée prête. Il m’a testée ; je me suis battue contre les meilleurs des soldats, jusqu’à ce que tous me considèrent comme leur chef. Mais il m’avait offert une vie, une armée, la supériorité des Tytos… qu’avais-je à lui offrir ? La réponse vint d’elle-même. Ma famille.

Je leur envoyai un message : ils devaient venir me sauver, tous les deux ! Hortie ne leur avait rien dit, mais elle se doutait du piège. Elle les suivit en cachette. Le piège se passait bien. Mes parents étaient incapables de me frapper. Mais alors que j’achevais mon père, ma sœur, arrivée en retard, se jeta sur moi. S’ensuivit une bataille enragée que je gagnais ; mais Hortie avait prévu ce jour, et était devenue mon égale en force. Elle m’ouvrit avec sa serre, de la tête jusqu’à ma serre gauche. Une fois ma famille assassinée, et donc trois gardiens en moins, je rentrai chez moi, où je pris le commandement des armées de Tytos.

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• Surnom ? : Mono'
• Comment as-tu découvert le forum ? annuaire forumactif
• Comment le trouves-tu ? chouette ! (oui, elle était facile celle-là, mais bon... c'est impossible de ne pas la faire !)
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