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| Sujet: Apsychos... Mar 5 Avr - 17:07 | |
| "APSYCHOS", "Le Vampire aux Yeux Noirs" Ton Personnage • Nom : Mes parents m'avaient appelés Jackou. Mais je me suis forgé une nouvelle identitée... aujourd'hui, appelez-moi Apsychos {En grec, ça veut dire "Sans Âme"}. • Race : Tyto Alba. • Rang/Faction : Guerrier et assassin au sein de l'armée de Bec d'Acier. • Âge : Adulte. • Famille : Je n'en ais plus... j'ai vu mes parents mourir sous mes yeux, tuées par les Gardiens de Ga'Hoole en personne. • Aspect Physique : (3 lignes minimum) Je suis une chouette particulièrement grande et mince, au corps musclé et élancé, au plumage long et brun, et avec les yeux entièrement noirs, vides, sans le moindre éclat, comme si ils étaient aveugles... mais non, rassurez-vous, mes alliés, et tremblez, mes ennemis : je vois très bien. L'éclat à simplement disparu le jour où j'ai perdu mon âme pour devenir le monstre que vous avez devant-vous. Mon corps est couvert des cicatrices de ma vie menait sous un rude entrainement, des cicatrices plus ou moins longues, plus ou moins profondes, mais toutes rouges et à vives, sans exception, car elles n'ont jamais ressues le moindre soin... pourquoi les aurais-je soignés, alors que c'est si agréable, d'avoir mal ? Mes serres sont fines, et particulièrement pointues, ce qui les rend encore plus douloureuses. Je garde toujours un sourire sarcastique sur mon bec, et j'ai pris la mauvaise habitude de rire tout le temps, pour tout et n'importe quoi, un rire cruel et désagréable. • Aspect Psychologique : (3 lignes minimum) Une seule phrase suffira à décrire qui je suis vraiment : je suis un méchant, un vrai. Cruel et fourbe, rusé et très intelligent, je connais les points faible des gens, là où il faut frapper pour que ça leur fasse mal, que ce soit physiques, ou psychologiques, et je n'hésite pas à m'en servir. Mon humour noir ne connait aucune limite. En bref, je suis complètement fou. Je suis près à tout pour atteindre mes objectifs, dans la vie, et je tuerais sans la moindre pitié tout être qui se dressera sur mon passage, même s'il s'agit d'un simple oisillons qui me coupe la route... et encore, des fois, je ne tues que pour m'amuser. Et encore une fois, pourquoi tuer, au font ? Faire mal est suffisent pour m'amuser. Je rit de la douleur, de celle des autres comme de la mienne. J'ai tellement eu mal dans ma vie qu'aujourd'hui ça ne me fait plus rien. Au contraire, j'aime bien avoir mal. Parfois, je me griffes moi-même, pour me détendre, cela augmente ma résistance. Je ne connait pas l'amour, sauf si c'est le temps de charmer une femelle pour avoir le plaisir de la larguer plus tard, ou pour lui soutirer des information avant de la "libérer"... ni l'amitié, encore moins la compassion ou le remord. Tout ce qui m'intéresse, dans la vie, c'est la destruction, le chaos, la douleur, la peur... • Histoire : (6 lignes minimum) /!\ ATTENTION : L'histoire de mon personnage contient certains passages tristes et sanglants pouvant choquer les plus jeunes /!\- Spoiler:
Je suis né en tant que Tyto Alba dans le clan des Sangs-Purs, de l'union de Maya, une des gardienne-couveuse des oeufs abandonnés de l’orphelinat Saint Aegulius, et de Wraël, un jeune guerrier de l'armée du Grand Tyto. Autant dire qu'il y avait beaucoup d'espoir, placé que mes jeunes plumes : j'étais peut être un des plus pur parmi les Sangs-Purs, né de deux Sangs-Purs eux-même, et j'étais un mâle, c'est à dire un futur soldat. Mes parents, qui étaient deux fidèles serviteurs de Bac-d'Acier et de Nyra, espéraient me voir entrée dans la classe des apprentis de la reine, me voir grimper les échelons, et me voir devenir un puissant combattants, prêt à écraser les impuretés de ce monde... ah, les idiots. Ils attendaient de moi que je devienne un de ces stupides pigeons soumis. Mais les évènements qui suivirent firent de moi autre-chose... quelque-chose de beaucoup plus puissant. Lorsque je brisas ma coquille, ma mère ne fut autorisée à me garder que pendant les première semaine de ma vie. Elle avait le droit de m'éduquer le temps que je passe différents rituels de croissance, mais dès le jour où j'aurais craché ma première pelote, elle devrait me remettre à Nyra elle-même, afin que je rentre dans sa classe et qu'elle-même m’entraîne pour que j'apprenne à voler, à me battre, et à lui obéir. Mon éducation entière fut poussée vers ce but, ma génitrice ne cessait de me raconter que c'était ça, mon avenir, car j'étais l'êtres au dessus des êtres, j'étais un membre de l'espèce dominante de ce monde. Mais c'est le soir-même où justement, je devais me préparer à partir, que les évènement changèrent mon destin, car en effet, le jour où j'allais devenir un Tyto Alba de combat, c'était le soir de la fameuse bataille des griffes de glace, dont il ne reste aujourd'hui pour s'en souvenir que quelques chroniques, d'ancien guerriers blessés... et moi-même. Peut être que ma mère voyait en moi plus qu'une future machine de guerre, finalement... peut être qu'elle m'aimait quand-même un peu comme une vraie mère, dans le font... je pense que oui, car avant de partir pour défendre ses seigneurs, elle m'ordonna de ne pas quitter le nid, car c'était trop dangereux pour moi, dehors. Est-ce que je lui ai obéit ? Non, pas du tout... mais c'était sans doute la meilleure décision que je n'ai jamais pris de ma vie. Malgré que je n'étais encore qu'un poussin, je réussis à m'extirper de mon trou, et je tombas en plein sur un promontoire d'où je pus voir la scène de la bataille, puisque j'avais été pondu au sommet même de la pouponnière de l’orphelinat... et là, je les vis, mes deux parents, défendant violemment les Sangs-Purs et leurs principes... mais ils furent terrassés, par Lyze de Kiel en personne. Sous mes yeux qui à l'époque, étaient noisettes, je vis mon géniteur et ma génitrice tomber, et disparaître parmi les rochers déchiquetés de la montagne... dès ce moment-là, quelque-chose changea en moi. Imaginez ce que l'on peut ressentir, à cet âge-là, de voir ses parents mourir d'une façon aussi brutal... ce fut ma première blessure, une blessure invisible, mais si douloureuse, et si profonde. Une blessure qui ne cicatriserait jamais, qui ne ferait que grandir, et qui marqua le début de ma folie. Des heures passèrent, et moi, je restais sur mon promontoire, à regarder la guerre, incapable d'en détourner le regard. Personne n'avait remarqué ma présence. Mes yeux volaient à travers les scènes de meurtres sanglants... et, même lorsque ce fut finit, lorsqu'il ne restait plus que moi, que les autres chouettes avaient fuis ou étaient rentrés chez-eux, victorieux, j'avais toujours dans ma tête les images et les hurlements. Je me relevas, après avoir été bien sûr qu'il ne restait en dessous de moi que des cadavres, puis je sauta dans le vide... et je me laissa planer. Je n'étais qu'un oisillon, je n'avais jamais appris à le faire, et pourtant j'arrivais à planer. En fait, c'était quelque-chose de tout à fait naturel, j'agissais sans réfléchir. Etait-ce cela, entrer en communion avec son gésier ? Cette force que possédaient chaque chouette était décidément bien mystérieuse. Une fois au sol, je chercha un petit moment, et je retrouva ma mère... pas mon père, mais seulement ma mère. Elle avait le ventre ouvert, comme par un coup d'épée. Pourtant, j'alla la voir, je me cala contre elle, entre ses deux ailes. D'abord, je pleura toute les larmes que put lâcher mon petit corps... puis je m'endormis. Je passa une nuit entière contre le cadavre froid de ma mère. Et le lendemain matin, aux première lueurs, lorsque je me réveilla, les yeux que j'ouvris étaient devenus noirs, comme les ténèbres qui avaient remplacées mon coeur. En moi, quelque-chose avait changé, quelque-chose s'était brisé, quelque-chose avait disparu, comme dévorer par le chaos... alors, le plumage encore rouge du sang de celle qui m'avait mise au monde, je quitta le confortable corps de ma génitrice, et je pris mon envol. Je vola des heures, sans me reposer, jusqu'à ce qu'au final, je m'écroule, épuisé, sur des terres désolées, au delà de la mer de Hoolemere... au delà de toutes terres connues par les chouettes. C'était une île dévastée, interdite, entièrement faite de roches tranchantes... pour la première, mon sourire cruel se dessina sur mon bec... j'étais chez moi. Les lunes passèrent, les semaines, les mois... et moi, je grandis. Uniquement guidé par mon gésier, j'appris à vivre seul, et je devins un guerrier par moi-même. Je me créa mon propre mode d'entrainement, entièrement basé sur la douleur que je m'infligeait. Je m'aiguisais même mes propres serres jusqu'à en saigner, afin de les rendre plus fines, plus pointus. Elles en devenaient moins mortels, mais plus douloureuses. Je repoussais toujours les limites du supportable, jusqu'à ce que, enfin, je dresse la douleur, j'en fasse mon animal, mon unique amie. Je devins une créature, quelque-chose d'horrible, de malfaisant... mes parents m'avaient appelés Jackou, mais je me débarrassa rapidement de nom ridicule, et je m'en forgea un nouveau. Jackou était mort dans les ailes de sa mère, et Apsychos était né. Dans les montagnes où je vivais, les autres animaux, qui étaient devenus les proies, firent de moi une légende, leur propre Boogeyman, un cauchemar vivant. C'est eux qui me donnèrent le surnom du Vampire aux Yeux Noirs, car chaque fois que l'on me voyait, j'étais couvert de mon propre sang. Tout-ça dans quel but, me direz-vous ? Mon plaisir, le plaisir de vivre dans un enfer. Je faisais tout ce que je pouvais pour devenir le meilleur. Et enfin, un jour, je fus prêt... Un matin, je partis pour retrouver les Sangs-Purs. Je voulais les rejoindre, car je savais que chez-eux, je pourrais faire le mal en toute tranquillité. Et mon retour parmi-eux fut assez remarqué. Lorsque je pénétra sur leur territoire, je sentis que quelqu'un me suivait... c'était un des gardes des frontières, qui ne semblait pas vraiment amical. Le sourir que je portais habituellement s'élargit... ça tombé bien, parce que moi non plus, je ne l'étais pas.
*** J'arriva auprès de Nyra, alors que celle-ci faisait son habituel discoure à une bande de nouvelles têtes fraîchement kidnappés. Je fus la première personne à oser l'interrompre, en lançant à ses pattes une visqueuse boule de plumes, couverte de sang... c'était le garde qui avait essayé de m'arrêter, et qui maintenant se présentait devant sa reine dans un sacré état : couvert de petites, mais profondes coupures, les deux yeux crevés, les pattes et les ailes brisées... et pourtant, il était vivant. Sa respiration roque se faisait entendre à travers toute la pièce. Le sourire qui illuminer mon bec montrait que j'étais fier de moi, et c'est en m'inclinant avec respect devant la femelle que je me présenta :
-Je vous salut, Nyra, noble reine au sang pur. Je me nomme Apsychos, et je suis venu à vous afin de me mettre à votre service, ainsi qu'à celui du puissant seigneur Bec-d'Acier. Et si je puis me permettre de vous offrir un conseil, évitez à l'avenir de vous entourer de minable qui tiennent pas plus de deux minutes en combat contre moi.
Je fis alors un bon et retomba sur ma victime, lui tranchant la gorge d'un coup de serre... et j'éclata de mon rire froid, un rire emplis de joie d'avoir volé une vie, qui se répercuta à travers les galeries de Saint Aegulius, faisant dresser leurs plumes sur la tête des oisillons. c'est ainsi que le Vampire aux Yeux Noirs devint un guerrier, et un des meilleurs assassin de l'armée des Sangs-Purs. Cependant, je n'ai pas autant de fidélité envers les Tytos Suprêmes que ce que je leur fait croire... temps qu'ils me permettent de faire autant de mal que je le désirs, je n'ai pas de raison de m'en aller... mais je n'ai qu'un seul vrai maître, et c'est moi. Si je trouve un moyen de rendre ma vie plus amusante, je n'hésiterais pas à les trahir... et oui, c'est ça de s'allier avec quelqu'un qui n'a pas d'âme. Ton vrai Toi Ceci est le second compte de **Barrane** ^^ |
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